Mise à jour: 2018-08-16
Cette page décrit l'installation de Ubuntu 18.04 sur un ordinateur HP Envy 700-329. Depuis novembre de l'année dernière, Ubuntu 17.10 était installé, mais cette version n'est plus mise à jour. Conséquemment, j'ai décidé d'installer la nouvelle version de Ubuntu sur un disque dur vierge plutôt que mettre à niveau la vieille version. J'ai conservé le disque dur contenant Ubuntu 17.10 ce qui m'a permis de copier plusieurs fichiers de configuration ce qui accélère la mise à niveau.
Comme on pouvait s'y attendre, la nouvelle mouture de système d'exploitation élimine certains problèmes. En outre, la prise en charge des lecteurs NTFS est complète. Le problème associé à l'affichage après au retour d'une mise en vieille est réglé. Est-ce parce que Wayland a été reportée ou est-ce à cause d'une amélioration du pilote ? Jusqu'ici, le seul véritable problème rencontré est avec les barres de défilement surtout dans Geany tel qu'expliqué ci-dessus.
Un avertissement. Ce billet n'est pas semblable aux autres qu'on retrouve sur ce site. Il y a peu d'explications, et le plus souvent les détails pour ce qui est de l'installation d'un logiciel quelconque sont escamotés. Il s'agit plus d'un aide-mémoire personnel.
Table des matières
- Ubuntu est plus futé que moi
- Coexistance Ubuntu et Windows 10
- Logiciels préinstallés
- Pilote NVIDIA additionnel
- Paramétrage de deux moniteurs
- Taille des icônes et du Dock
- Terminal GNOME
sudo
sans mot de passe- Logiciels ajoutés
- Ajustement de GNOME
- Prise en charge des langues
- Afficher la disposition du clavier
- Imprimante multifonction Brother DCP-7040
- Antidote 9 de Druide
- Suite...
- Ubuntu est plus futé que moi
sda
: système d'exploitation Windows 10sdb
: système d'exploitation Ubuntu 17.10.sdc
: deux partitions de données,
1. partition de données Linux (ext4) 1 To
2. partition de données Windows (fat) 1 To.- Coexistance Ubuntu et Windows 10
- Logiciels pré-installés
- Firefox (61.0.1, 64 bits)
- LibreOffice (6.0.3.2)
- Messagerie Thunderbird (52.9.1, 64 bits)
- Logiciels GNOME (logithèque)
- Agenda de GNOME (3.28.2)
- perl 5 (v5.26.1pye)
- Python3 (3.6.5)
- Eye of GNOME Visionneur d'image GNOME (3.28.1-1) par défaut (
eog
) - Shotwell (0.28.2 - "Braunschweig")
- Cheese que j'ai enlevé, car il n'y a pas de caméra branchée sur l'ordinateur.
- Pilote NVIDIA additionnel
- Paramétrage de deux moniteurs
- lancer
Paramètres
soit avec la recherche d'application en bas sur le "dock" ou en cliquant sur l'icône système dans le coin supérieur droit (cf image à la droite) - choisir
Périphériques
dans le menu déroulant à gauche - choisir
Écran
(cf image ci-dessous) Mode d'affichage
devrait êtreJoindre les écrans
- inverser l'ordre des écrans dans la section
Disposition des écrans
en cliquant sur l'écran à droite pour le faire passer à gauche de l'autre - changer
Écran principal
à celui de gauche (qui était anciennement à la droite - cliquer sur le bouton
Appliquer
. - accepter la nouvelle configuration.
- Taille des icônes et du Dock
- Terminal GNOME
sudo
sans mot de passe- Logiciels ajoutés
- l'éditeur de texte Geany (1.32)
- Double Commander (0.8.2 beta)
- le gestionnaire de mots de passe KeepassXC (2.3.3)
- le gestionnaire de paquets Synaptic
- le client FTP FileZilla (3.28.0-1)
- l'outil de fusion Meld (3.18.0)
- le réveil et chronomètre Alarm Clock
- l'éditeur de partitions GParted (0.30.0)
- le lecteur multimédia VLC (3.0.3 Vetinari)
- le programme de dessin vectoriel Inkscape (0.92.3)
- le programme de dessin KolourPaint (17.12.3)
- le sélecteur de couleurs KColorChooser (2.0.0)
- ZenMap as Root (7.60) qui est une interface graphique à l'explorateur de réseau nmap
- PDF-Shuffler - fusionne, fractionne, élimine des pages de documents PDF (0.6.0)
- le navigateur Chromium (68.0.3440.75)
- Thunderbird
/home/michel/.thunderbird
- Firefox
/home/michel/.mozilla
- Double Commander
/home/michel/.config/doublecmd
- Filezilla
/home/michel/.config/filezilla
- Geany
/home/michel/.config/geany
- Nautilus (getsionnaire de fichiers)
/home/michel/.config/nautilus
- GNOME Calendar
/home/michel/.local/share/evolution/calendar
- Ajustement de GNOME
- Prise en charge des langues
- Afficher la disposition du clavier
- Imprimante multifonction Brother DCP-7040
- Installer les plus récents pilotes de Brother: Driver Install Tool en suivant les instructions sur le site.
- Créer un lien symbolique dans le répertoire
/usr/lib/x86_64-linux-gnu/sane/
où SANE cherche les pilotes des scanneurs vers la bibliothèque de Brother qui a été installée dans un mauvais répertoire.michel@hp:~$ sudo ln -s /usr/lib64/sane/libsane-brother3.so.1.0.7 /usr/lib/x86_64-linux-gnu/sane/libsane-brother3.so.1 - Antidote 9 de Druide
- Démarrez Google Chrome.
- Cliquez sur l’icône de personnalisation (⁝) située dans le coin supérieur droit.
- Sélectionnez dans le menu l’élément « Plus d’outils », puis le sous-élément « Extensions ».
- Activez le « Mode développeur ».
- Cliquez sur le bouton Chargez l'extension non empaquetée
- Naviguez vers le répertoire
chrome-ext/Antidote9
, qui devrait se trouver dans le répertoire personnel, puis sélectionnez-le. L'icone de Antidote apparaîtra à gauche de l'icône de personnalisation. - Suite...
- Top Things To Do After Installing Ubuntu 18.04 Bionic Beaver To Make It Your Own
- de Logix sur Linux Uprising, 2018-07-31.
- Things to do After Installing Ubuntu 18.04
- de Abhishek Prakash, 2018-07-30.
- 15 Things To Do After Installing Ubuntu 18.04 Bionic Beaver
- de LinuxAndUbuntu, 2018-06-16.
Mon système contient trois disques durs dont le contenu avant la mise à niveau du système d'exploitation Linux était le suivant.
Après avoir télécharger l'image
iso
de Ubuntu 18.04.1, je l'ai copiée vers une clé USB de démarrage (c.-à-d.
rendue amorçable). C'est la première fois que je n'utilise pas un DVD pour
procéder à l'installation. C'était très simple à faire dans Linux avec l'application Créer un disque de
démarrage
(le nom de l'exécutable est
usb-creator-gtk
).
Je n'ai pas fait de capture d'écran, mais il suffit de cliquer sur
le bouton Autre... pour parcourir le système
de fichiers et y retrouver l'image iso
téléchargée. Le lecteur
USB était déjà identifié dans la liste des Disques à utiliser
.
À mes deux premières tentatives, l'opération a échoué. Elle a fonctionné
quand je me suis rendu compte que la clé USB était utilisée par un autre logiciel :
Double Commander.
J'ai fermé l'ordinateur pour remplacer le deuxième lecteur par un lecteur de 1 To vierge où Ubuntu 18.04 résidera. J'ai branché la clé USB et remis en marche l'ordinateur en appuyant sur la touche Echap pour avoir accès au menu de démarrage du BIOS. Dans ce dernier, j'ai choisi la clé USB comme source. La touche qui lance le menu d'amorçage est différente selon l'ordinateur. J'en ai vu qui utilisaient la touche Del, F9, F10 et F12 et je suis certain que d'autres touches sont utilisées.
Après le lancement de Linux, j'ai choisi d'installer immédiatement Ubuntu. J'aurais du lire les instructions qu'on retrouve ici mais j'ai pensé que ce n'était pas nécessaire. J'ai donc trébuché. Heureusement, la version dite live sur la clé USB (ou éventuellement un DVD) contient assez d'utilitaires pour réparer ma gaffe et j'ai pu éliminer rapidement l'installation fautive et recommencer à zéro sans perdre beaucoup de temps. La morale est que l'installateur de Ubuntu savait beaucoup mieux que moi ce qu'il fallait faire et j'aurais dû m'en remettre à ses suggestions d'amblé.
En fin de compte, j'ai laissé Unbuntu 18.04.1 s'installer sur le disque dur
vierge sans modifications autres que d'avoir fixé le nom de l'ordinateur (hp
comme avant), d'avoir choisi fr_CA
comme
locale
, d'avoir choisi un clavier français (AZERTY) et d'avoir
choisi Moncton NB une ville à proximité pour fixer le fuseau horaire.
En même temps, Windows voulait se mettre à jour (version 1803) ce qui compliquait et ralentissait considérablement les choses. En fin de compte, le problème était que la partition EFI était corrompue comme expliqué par Phillip Susi.
Après cette correction, il a été possible de réinstaller Ubuntu 18.04 comme décrit dans ce billet.
Voici mes notes au sujet de l'utilisation de Windows 10 et Ubuntu quand j'ai passé à Ubuntu 17.10. Aucune des étapes mentionnées dans cette section n'a été nécessaire avec la nouvelle version.
Il y avait beaucoup d'objets désuets dans le NVRAM de l'ordinateur comme une ancienne entrée pour linux mint etc. J'ai suivis les instructions Remove Duplicate Firmware Objects in BCD and NVRAM qu'on trouve à https://technet.microsoft.com/en-us/library/cc749510(v=ws.10).aspx pour tout nettoyer avant d'installer Ubuntu. Il faut évidemment faire cela dans Windows.
Le résultat a été un menu de démarrage grub
très propre avec seulement 4 choix :
*Ubuntu
Advanced options for Ubuntu
Windows BootManager (on /dev/sda2)
System setup
Malheureusement, après l'utilisation de Windows
10, le menu grub
n'est plus affiché et Windows est
automatiquement lancé à chaque démarrage. Pour régler le problème, il faut
changer le programme d'amorçage de Windows :
Il faut lancer le terminal dans Windows avec les
droits d'administrateur pour utiliser bcdedit
. Plusieurs
mentionnent que le bon sentier est \EFI\ubuntu\grubx64.efi
. J'ai
examiné le contenu de la seconde partition du disque contenant Windows avec Partition Wizard de MiniTool ce qui a permis de vérifier, qu'effectivement, les
deux configurations existent.
bcdedit /set...
tel que décrit ci-dessus.
On recommande aussi d'arrêter Secure Boot, ce que j'ai fait dans le BIOS.
Je n'ai pas noté de différences importantes sur le bureau GNOME entre les version 17.10 et 18.04 de Ubuntu. Évidemment, les versions des applications incluses avec le nouveau système d'exploitation sont, pour la plus grande part, plus récentes. Voici quelques exemples.
Python 2 n'est plus installé par défaut.
Le pilote propriétaire pour la l'interface Wi-Fi (Broadcom BCM43228) a été installé automatiquement, mais ce ne fut pas le cas pour ce qui est de la carte graphique: NVidia GeForce GT 635.
En invoquant l'application Logiciels & mises à jour
, j'ai
choisi d'installer le pilote version 390 en remplacement du pilote
X.Org X server
. Il ne faut pas oublier d'appuyer
sur le bouton Appliquer les changements.
En plus du pilote, plusieurs programmes sont installés dans le
répertoire /usr/bin/
.
Deux moniteurs (de 1920×1080 px) sont branchés sur mon ordinateur, mais ils sont agencés dans l'ordre inverse à celui que je désire. Conséquemment, le parcours de la souris est déconcertant quand on passe d'un écran à l'autre. On peut changer l'alignement logique des écrans&nbps;:
Vérifier que la souris se comporte comme désiré quand on fait glisser le curseur d'un écran à l'autre.
Pour que la fenêtre d'ouverture de session s'affiche dans l'écran
primaire qui est à la gauche, il faut copier le fichier de configuration qui
a été crée dans le dossier personnel ~./config
vers le dossier
équivalent du système.
source: Force gdm login screen to the primary monitor sur ask ubuntu.
Les icônes sont très grosses dans le lanceur (Dock). J'ai diminué la taille
de 48 pixels à 32. J'en ai profité pour activer le masquage automatiquement
du Dock. Avec l'usage j'ai décidé qu'il est préférable que le «Dock»
soit toujours visible.
On fait ces deux opérations dans Paramètres/Dock
.
L'émulateur de terminal GNOME est lancer avec la combinaison AltCtlT.
J'ai ajouté l'icône du terminal comme favoris dans le Dock. Il suffit de
cliquer avec le bouton droit sur l'icône et sélectionner Ajouter au
favoris
. Dès lors, le terminal est affiché dans le Dock et peut être
lancé avec un clic de la souris.
Le nom de l'application est gnome-terminal
. Elle
se trouve dans le répertoire /usr/bin
. Je mentionne cela
parce que j'ai changé l'émulateur de terminal lancé dans un répertoire
donné par Double Commander (voir la section
suivante). Par défaut, ce logiciel utilise l'émulateur de Xterm que
j'aime moins.
Par défaut, il faut donner un mot de passe à chaque utilisation de
sudo
(Super user do). Il est possible d'éliminer cette étape en
créant un fichier local
dans le dossier
/etc/sudoers.d
:
%michel ALL=(ALL) NOPASSWD: ALL
Puis il faut changer les droits d'utilisateur du fichier créé :
J'ai utilisé la logithèque Ubuntu nommée Logiciels
pour installer des applications que j'utilisais couramment. En
premier, j'ai installé
J'ai connecté le vieux disque dur contenant Ubuntu 17.10 à l'ordinateur avec un adaptateur USB pour avoir accès aux fichiers de configuration et de données des plus importants logiciels que je voulais utiliser avec la version plus récente de Ubuntu.
Le premier de ces fichiers à copier fut la vieille base de données de
KeepassX (2.0.3-1). J'avais l'habitude de sauvegarder
cette base de données dans un sous répertoire du répertoire caché
/home/michel/.local
, mais cela ne se fait pas avec
KeepassXC (notez le «C» additionnel).
Alors, j'ai copier la base de données dans un répertoire non caché. Ainsi j'ai
récupéré tous mes mots de passe.
Avec Double Commander j'ai copié le répertoire contenant les fichiers source du mon site web. Ainsi j'ai pu récupérer le fichier de notes que j'avais sur l'installation de Ubuntu 17.10 qui est devenu le point de départ du document actuel.
Voici quelques autres programmes que j'ai installés.
Il ne s'agit pas de la plus récente version de FileZilla (3.29) mais la version disponible sur la logithèque suffit pour mes besoins. J'ai choisi Alarm Clock plutot que GNOME Clocks parce que le premier ne fait que 139,5 Ko alors que le second est bien plus loure à 6,6 Mo.
Malheureusement, le programme de dessin Pinta que j'utilisais avec Ubuntu 14.04 LTS n'est plus à jour. Il ne fonctionnait pas correctement avec Ubuntu 17.10, alors j'ai installé KolourPaint. C'est un peu malheureux, car cela implique l'installation de KDE, etc. En revanche, Pinta dépendait de Mono qui est aussi très lourd.
Auparavant, j'utilisais GColor2 comme sélecteur de couleurs, mais ce logiciel n'étant plus disponible, je l'avais remplacé par GPick dans Ubuntu 17.10. Malheureusement, ce dernier était trop complexe pour mes besoins, alors j'ai décidé de passer à KColorChooser dont l'interface me semble bien plus intuitive.
Avec le gestionnaire de paquets Synaptic
j'ai installé le préprocesseur HTML, GTML (3.5.4-23). Avec
apt-get
j'ai installé des plugins pour Geany et trois systèmes de gestion des versions des
sources. Si l'on lance Synaptic à partir d'un
terminal il faut utiliser le préfixe sudo
; c'est
automatique si on lance l'application à partir de Afficher les
applications
du Dock.
The current version is 2.18.0 - so close enough.
The current version is 4.7.
Plutôt que configurer plusieurs de ces programmes, j'ai copié les fichiers de configuration qui était sur le disque dur contenant Ubuntu 17.10. Voici les sentiers complets des répertoires contenant ces fichiers.
Avant de copier l'ancien répertoire, je me suis assuré que l'application
n'était pas en marche et j'ai renommé (avec sudo
) le répertoire
actuel xxxxxx
en xxxxxx.bak
pour pouvoir le récupérer
si nécessaire. Dans tous les cas, cela a bien fonctionné et j'ai pu effacer
le répertoire xxxxxx.bak
.
À noter qu'il faut fermer la session courante puis la repartir pour que Calendar relise le fichier d'évènements.
Pour ajouter le lecteur Flash de Adobe, il faut ajouter Partenaires
de Canonical dans l'onglet Autres logiciels
du Gestionnaire de mises à jour. Puis, contrairement à ce qui est dit
dans
Getting-Partner-Flash, j'ai dû utiliser
Synaptic
pour installer adobe-flashplugin
; il
n'était pas disponible dans la logithèque. Le plugin Flash fonctionne avec Firefox et Chromium une fois activé
chacune des applications.
Pour ajuster certains aspects du bureau et modifié le thème j'ai installé Ajustements de GNOME (GNOME Tweaks) avec Logiciels ou
Avec cet utilitaire, j'ai rajouté la date à l'horloge affichée dans la barre supérieure de l'écran principal.
J'ai enlevé le menu de l'application dans la barre supérieure. Je trouvais cela un peu déroutant de retrouver une partie des menus de certaines applications dans la barre supérieure de l'écran principal et la plus importante part du menu dans la barre supérieure de la fenêtre principale de l'application. Ce mélange de l'approche Mac OS et Windows ne me plaisait pas.
J'ai ajouté Agenda et la Messagerie Thunderbird dans les applications au démarrage.
Dans 17.10 il avait été nécessaire de changer le thème à
Radiance
pour que le contenu de certaines boîtes déroulantes
soit visible. Ce ne semble plus être nécessaire dans 18.04. Cependant, il y
avait des problèmes avec la barre de défilement verticale dans Geany et il
semble que la situation soit maintenant meilleure depuis que je suis revenu
au thème Ambiance
après avoir utilisé le thème
Radiance
pour quelques sessions. Est-ce un hasard ou une fausse
impression ?
Le problème avec les barres de défilement de Geany est bien plus complexe
que je ne pensais. Selon la deuxième réponse de wdp
dans la
discussion intitulée How to remove overlay-scrollbars in Ubuntu 17.10 and
18.04? les barres de défilement de Geany sont
indépendantes de la bibliothèque GTK+ 3 qui réalise l'interface graphique du
bureau GNOME. Donc utiliser le fichier de style CSS qu'il propose ne
réglerait pas le problème. En fait, l'apparence des barres est modifiée si
l'on ajoute le fichier gtk.css
, mais elles ne fonctionnent pas
correctement dès qu'on utilise les flèches aux extrémités des barres. De
plus, le comportement de la barre de défilement dans Firefox est un peu déconcertant. (La combinaison de gtk.css et
du thème Adwaita donne de très mauvais résultats: il n'y a plus
de barres de défilement dans Geany, Firefox, etc.)
En revanche la réponse de NOrbert
fonctionne. Les barres de
défilement sont correctes avec les thèmes Adwaita,
Adwaita-Dark, Clearlooks-Phenix et Communitheme.
Geany avec le thème Clearlooks-Phenix:
Geany avec le thème Communitheme:
Finalement, j'ai décidé d'utiliser ce dernier thème.
On installe les thèmes Clearlooks-Phenix et Communitheme de la façon suivante.
On choisit le thème dans l'onglet Apparence de l'utilitaire Ajustements de GNOME. L'avertissement au sujet des icônes de communitheme est pertinent, j'ai choisi les icônes Ubuntu-mono-dark.
À noter que
semble fonctionner, mais le thème n'est pas visible dans l'utilitaire Ajustements de GNOME, voir Ubuntu’s Community Theme “Communitheme” – Gnome Wednesday de sysWolf du 25 avril 2018.
Une autre solution possible est l'utilisation de la version 1.33 de Geany qui contient des améliorations quand à l'utilsation des thèmes dans GTK3. Malheureusement, je ne peux installer l'archive personnelle selon les instructions à PPA for Geany Developers. L'erreur suivante s'affiche.
D'ailleurs dans les détails techniques au sujet du PPA on ne trouve pas la mention de la version 18.04 de Ubuntu. Peut-être plus tard ?
La prise en charge des langues n'était pas complète. Dans
Paramètres/Pays et langue
, cliquer sur le bouton
Gérer les langues installées pour terminer
l'installation de dictionnaires et autres outils linguistiques
supplémentaires.
Je me suis aussi rendu compte que j'avais une version «désuète» du
clavier AZERTY. J'ai ajouté la version courante du clavier Français/Français
dans Sources de saisie
dans
Paramètres/Pays et langue
puis j'ai éliminé la
vieille version.
La seule façon d'afficher la disposition du
clavier semblait être de cliquer sur l'icône du clavier dans la même fenêtre
Paramètres/Pays et langue
. Or on peut aussi
lancer un utilitaire dans un terminal.
Dans la version 17.10 du Ubuntu j'avais
ajouter un favori (une icône permanente sur le Dock) qui lançait l'utilitaire.
On peut faire la même chose dans 18.04, mais il faut procéder un peu
différemment. La première étape consiste à créer le répertoire
/home/michel/.local/share/applications/
s'il n'existe pas déjà
puis à créer un fichier .desktop
dans ce répertoire.
Dans Afficher les applications au bas du Dock trouver «Disposition du clavier». Cliquer avec le bouton droit de la souris sur l'icône et sélectionner «Ajouter au favoris». L'icône apparaîtra immédiatement dans le dock. La disposition du clavier apparaîtra quand on clique sur l'icône.
Puisque plusieurs autres favoris seront rajoutés au Dock qui commence à être trop occupé, j'ai décidé d'enlever le favoris et de le remplacer par un raccourci de clavier pour afficher la disposition de ce dernier.
J'ai vérifier que la combinaison AltCtrlC n'était pas utilisée puis j'aiAjouter un raccourci personnalisé
en cliquant sur le + à la fin de tous les raccourcis
dans Paramètres/Périphériques/Clavier
. La commande à
exécuter est la même que ci-dessus: gkbd-keyboard-display -l fr
.
Ubuntu 18.04 trouve l'imprimante et installe un
pilote qui fonctionne correctement. Malheureusement, ce n'est pas le cas pour
le numériseur. Le logiciel Outil de numérisation Simple
Scan ne trouve pas le matériel. En revanche
sane-find-scanner
identifie correctement la présence du
scanneur Brother et, incorrectement, affiche que la puce Bluetooth est aussi
un scanneur.
Si l'on teste scanimage
comme suggéré, on verra qu'il ne peut
trouver le dispositif.
La solution est la même que pour la version 17.10 de Ubuntu que j'avais décrit dans un billet intitulé Installing the DCP-7040 Scanner in Ubuntu 17.10. Ce n'est pas très compliqué.
Il faut redémarrer l'ordinateur pour que ces changements prennent effet.
Pour éviter une erreur que j'avais faite à l'installation du correcteur Antidote 9 lors du passage à Ubuntu 17.10, j'ai télécharger la plus récente version du logiciel du correcteur ainsi que du Visuel intégré.
J'ai installé les deux logiciels en faisant un double clic sur chacun
des fichiers .bash
. L'installation du correcteur s'est réalisée
sans problème, celle du Visuel intégré n'a pas fonctionné. En ouvrant
un terminal, j'ai pu voir ce qui se passait et j'ai pu contourner le problème
en lançant l'installateur avec les privilèges de root
.
On trouve de bon conseils sur l'utilsation de Antidote 9 dans Linux ici: http://documentation.antidote.info/fr/antidote-9/utilisation-avec-vos-logiciels/linux. On ajoute Antidote 9 aux favoris en cliquant avec le bouton droit sur son icône dans Afficher les applications au bas du Dock. Si le correcteur est lancé directement à partir de Afficher les applications, l'option d'ajouter au favoris n'est pas disponible quand on clique avec le bouton droit de la souris sur l'icône dans le Dock.
Les instructions pour intégrer Antidote 9 à Google Chrome sont désuètes. Il n'est plus possible
d'ajouter des extensions qui ne proviennent pas du Web Store avec la
version 68 de Chrome. Cependant, si l'on active le
mode développeur, on peut intégrer des extensions qui n'ont pas été
archivées. Pour le faire, il faut extraire le contenu du connecteur
Antidote.GoogleChrome.crx
dans un dossier qui doit rester en
place de façon permanente. L'application 7z peut
extraire le contenu d'une archive .crx
.
Pour installer l'extension :
Malheureusement, il semble impossible d'utiliser le correcteur et le dictionnaire. L'erreur suivante s'affiche.
Impossible de communiquer avec Antidote L'exécution de la commande est annulée. Veuillez essayer à nouveau. Code d'erreur : 6011
Notons que l'Historique des versions est clair: la version 5.2 de Antidote n'est intégrée que jusqu'à la version 66 de Chrome.
Ce billet est déjà très long (et monotone!). Il reste des applications importantes à installer: Gimp, Kdenlive (ou Pitivi que l'installateur de Ubuntu recommandait ?), VirtualBox, etc.
De plus, je veux installer mes environnements de développement, dont Free Pascal/Lazarus, Arduino et PlatformIO.
Pour terminer, voici quelques références au sujet de Ubuntu 18.04